Militaires français mort en Libye

Hélicoptère et militaires français en Lybie

Hélicoptère et militaires français en Libye

La nouvelle a été annoncée mercredi 13 juillet 2016 dernier par un communiqué du ministre de la défense. Trois soldats français ont en effet été tués dans un hélicoptère alors qu’ils étaient en opération spéciale en Libye. On se souvient que le porte-parole du gouvernement français Stéphane Le Foll avait déclaré : « les forces spéciales sont là, bien sûr, pour aider et faire en sorte que la France soit présente partout pour lutter contre les terroristes », La France a toujours soutenu que ses avions survolent la Libye pour collecter de l’information et du renseignement, sans en revanche confirmer la présence de ses troupes au sol. Rappelons que depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi, c’est presque le chaos en Libye. Ce pays est déchiré par des luttes intestines. Des groupes se sont emparés des parties du territoire et se livrent à des batailles pour accroître le pourvoir. Certains de ces groupes ont fait allégeance à l’ Etat Islamique qui revendique les attentats terroristes qui ont lieu à travers la planète et surtout en Occident comme ce fut encore le cas en France au lendemain des décès de ces trois soldats.

C’est donc pour lutter contre le terrorisme que la France est manifestement contrainte d’envoyer des hommes en armes sur le terrain. La mort de ces trois militaires vient donc confirmer la présence de français sur le territoire libyen .

C’est Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, qui s’est le premier exprimé dans un communiqué où il disait «déplore(r) la perte de trois sous-officiers français décédés en service commandé en Libye », sans plus de précisions. Il en a profité pour saluer le courage et le dévouement de ces militaires engagés au service de la France qui accomplissent, tous les jours, des missions dangereuses contre le terrorisme ». Le ministre a également adressé ses condoléances aux familles et proches des trois militaires et « les assure de la reconnaissance de la Nation ».

Avec la participation de Dona Belibi (stagiaire)