Crise politique au Togo, une violente représsion dans le Nord

La crise politique au Togo connaît un tout nouveau tournant. Des milliers de manifestants demandant le départ du président Faure Gnassingbé sont à nouveau descendus dans les rues de Lomé et de plusieurs autres villes mercredi à l’appel de l’opposition. 

Crise politique au Togo, l'opposition réclame e départ du président

Crise politique au Togo, l’opposition dénonce une répression sauvage dans le nord

Ils dénoncent une « répression sauvage » dans le nord, où le gouvernement invite à ne pas manifester, des armes volées à l’armée étant selon lui en circulation.« Faure, dégage » : le mot d’ordre est toujours le même depuis la fin août sur les pancartes brandies lors des marches de l’opposition togolaise. 

Cette dernière a entamé hier trois jours de rassemblements à travers le pays pour exiger notamment le retour à la Constitution du 14 octobre 1992 dans sa forme originelle, la révision du cadre électoral et l’instauration du droit de vote des Togolais de l’étranger.

Dans les rues, les manifestants ont dénoncé une « répression sauvage » ayant fait une vingtaine de blessés la veille dans le nord du pays, où les manifestations ont été interdites, malgré leur autorisation préalable par le gouvernement.

Des milliers de manifestants demandant le départ du président Faure Gnassingbé sont à nouveau descendus dans les rues de Lomé et de plusieurs autres villes mercredi à l’appel de l’opposition. Ils dénoncent une « répression sauvage » dans le nord, où le gouvernement invite à ne pas manifester, des armes volées à l’armée étant selon lui en circulation.

« Faure, dégage » : le mot d’ordre est toujours le même depuis la fin août sur les pancartes brandies lors des marches de l’opposition togolaise. Cette dernière a entamé hier trois jours de rassemblements à travers le pays pour exiger notamment le retour à la Constitution du 14 octobre 1992 dans sa forme originelle, la révision du cadre électoral et l’instauration du droit de vote des Togolais de l’étranger.

Dans les rues, les manifestants ont dénoncé une « répression sauvage » ayant fait une vingtaine de blessés la veille dans le nord du pays, où les manifestations ont été interdites, malgré leur autorisation préalable par le gouvernement … Lire la suite

Source : Jeune Afrique