Ivo Pitanguy, décès du célèbre chirurgien
Ivo Pitanguy , chirurgien mondialement connu – KalaraNet.com – Août 2016
Ivo Pintanguy, né le 5 juillet 1923 à Belo Horizonte, était un chirurgien d’origine Brésilienne, spécialisé dans la chirurgie plastique. En 1946, il a suivi ses études de médecine à Rio de Janeiro. Il a ,par la suite, obtenu une bourse pour aller continuer ses études aux États-Unis de 1948 à 1949. Il a aussi fait un tour en France où il a été un étudiant dans quelques hôpitaux de paris.
Celui-ci était un pionnier de la chirurgie esthétique. Sa vie s’est achevée le samedi 6 août 2016 à Rio de Janeiro, rapport fait par une porte parole de la clinique où il officiait.Patricia Sallum explique qu’il est mort à 17h30 et nous explique par la même occasion les circonstances de sa mort : il est « mort […] d’un arrêt cardiaque dans sa maison de Gavea ». Le défunt a eu l’occasion de porter la flamme olympique lors de l’ouverture des Jeux Olympiques.
Il laisse un grand nombre de publications à son actif, environ 1.800, entre autres livres, préfaces, conférences, documents scientifiques.
On imagine que les centaines de jeunes qu’il a formés dans la chirurgie plastique sont profondément affligés et troublés par cette nouvelle lugubre.
Celui-ci était le « chirurgien des stars » et a disséqué bon nombre de célébrités du spectacle et de la politique dont les noms sont restés latents, noms qu’il n’a pas révélés , dans sa clinique qui existe depuis 53 ans aujourd’hui.
Les milliers de pauvres, comprenant des femmes, des brûlés et des personnes n’appréciant pas la forme de leur visage n’oublieront jamais les actes de bienfaisance du Pr.Ivo, puisque ces personnes ont été soignées gratuitement.
L’un des événements les plus traumatisants de sa carrière fût l’incendie qui eut lieu à Niteroi il ya 55 ans. Le bilan était alarmant. 500 vies ont été éteintes avec une grande majorité d’enfants et des personnes brûlées. Sacrifiant trois jours et trois nuits, il a pris le soin de venir en aide à ces sinistrés.
Mbou Sop Yann Cyrille.
