Archivage virtuel ou archivage physique ?
Dans plusieurs pays les entreprises pullulent. Et pour fonctionner, celles –ci manipulent des tonnes d’informations.Elles font de l’ archivage.Si ces entreprises continuent à stocker les informations en leur sein, avec le temps il n’y aura plus assez de place dans les bureaux pour les employés. L’arrivée de l’informatique à été saluée et les adeptes de nouveaux produits technologiques pensent que son arrivée solutionne le problème de l’archivage. On avance vers une période où l’informatique aura débarrassé les entreprises de toute leur paperasse d’ archive. Certains pensent que l’ archivage virtuel est sûr, efficace et prometteur d’autres non. Voici donc la problématique : l’ archivage virtuel peut-il remplacer l’ archivage physique ? On se de demande si l’archivage physique vit ses dernières heures !
Ceux qui sont pour l’archivage numérique trouvent que l’ archivage physique est exposé à plusieurs risques. Par exemple le risque d’incendie. Si pour une raison ou pour une autre l’entreprise croule sous la force des flammes tous les documents stockés dans celle-ci ne deviendront qu’un tas de cendre. C’est vrai les ordinateurs, et les disques durs seront aussi consumés. Mais il existe aujourd’hui des possibilités de stocker les informations en ligne, et par conséquent si les ordinateurs sont consumés, les informations ne le seront pas. Ceux qui sont pour l’ archivage physique diront « les informations ne sont-t-elles pas stockées quelque part ? C’est vrai qu’il est possible que les flammes embrasent les « datas centers ». Mais chose très peu probable. Une autre chose qu’on reproche à l’ archivage physique c’est sa prédisposition à moisir les documents et ceux-ci occupent aussi beaucoup l’espace.
Comme nous le disions plus haut, l’incendie peut aussi détruire les informations stockées dans des ordinateurs. En plus en cas de panne électrique on à plus accès aux informations contenues dans ces supports. Les supports utilisés pour l’ archivage numérique entre autre le disque dur sont sensibles à la chaleur, à l’oxydation, aux champs magnétiques, à l’humidité.
Cette analyse nous fait comprendre que l’un et l’autre vont de paire. En travaillant ainsi en symbiose, les informations peuvent être stockées le plus longtemps possible.
Yann Mbou Sop
